Petit jeu d?écriture :
Sur base de cet extrait d?une dépêche d?agence de presse, écrire deux petits textes,
l?un profondément politiquement CORRECT*, l?autre profondément politiquement INCORRECT. ![]()
(ce peut-être des récits de témoins, une prolongation de la dépêche ou une réécriture, vous pouvez changer l?époque ? vous êtes libres, la dépêche n?est là que comme déclencheur)
Le but de l?exercice est évidemment l?humour direct ou indirect? pratique toujours saine pour se décloisonner de nos carcans langagiers.
Si vous n'avez d'idée que pour un texte, choisissez d'écrire celui qui est politiquement incorrect ( évidemment)
politiquement correct = l'ensemble des moyens (pénalisation, réprobation sociale légalisation d'une opinion ou d'un fait ? employés pour restreindre le domaine de ce qui peut être dit (ou débattu). Elle prohibe en particulier tout terme ou expression discriminante à l'égard de quiconque, mais également certains sujets, voire certains termes politiques, et cherche ainsi à interdire la pensée qui suscite cette expression, l'abord de certains sujets, ou l'emploi de certains termes. Pratiques qui relèvent en partie d?une forme de contrôle social sur les expressions du langage. Par extension, le langage politiquement correct est « ce qu'il faut dire », la manière convenable de dire les choses
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Extrait de la dépêche :
?La première opération chirurgicale en apesanteur, réalisée mercredi à bord d'un avion de la société Novespace, "a été réussie" et "s'est déroulée sans aucune difficulté particulière", a annoncé le professeur Dominique Martin du CHU de Bordeaux.
"On n'a pas cherché à faire un exploit technique mais à réaliser un test de faisabilité. On s'est mis en situation réelle pour opérer dans les conditions spatiales", a-t-il indiqué au cours d'un point presse.
"Maintenant on sait qu'un être humain pourra se faire opérer dans l'espace sans trop de difficultés", a-t-il ajouté.
L'Airbus A300 de la société Novespace avait décollé à 09H30 de l'aéroport de Bordeaux-Mérignac, avec à son bord trois chirurgiens et deux anesthésistes qui ont réalisé en "moins de 10 minutes", selon le professeur Martin, l'ablation d'une tumeur graisseuse à l'avant bras d'un patient volontaire.
Le vol qui a duré trois heures a été en situation d'apesanteur au cours de trente-deux phases d'une vingtaine de secondes chacune.
"Si on avait eu deux heures d'apesanteur continue, on aurait pu opérer une appendicite", a souligné le professeur Martin.
La prochaine étape de l'équipe médicale consiste à faire réaliser une opération chirurgicale à un robot piloté depuis une base terrestre.?
(ce peut-être des récits de témoins, une prolongation de la dépêche ou une réécriture, vous pouvez changer l?époque ? vous êtes libres, la dépêche n?est là que comme déclencheur)
