Merci Christiane et Flo, j'avoue que je ne le connaissais pas et j'ai découvert ce passage de lui :
"Nous ne sommes pas séparés de la Terre
par la construction d'un tombeau
ni par un chant de pierres d'églises, ni par voie
de contemplation
mais perdus, tout entiers perdus dans le grand
paysage
avec ses arbres, ses champs et cette
incompréhensible lumière
Sur le bord de la route où l'ombre est rare
et l'amour incertain
nous ne sommes pas séparés de la vie au milieu
des buissons et des choses communes."
Ça me fait presque penser au "wakan" sioux, le Mystère considéré comme être suprême et inversement, ce qui me paraît d'ailleurs une vision très honnête.
Avant de commencer à écrire ce petit tryptique, j'écoutais un chant dévotionnel d'Inde du nord, d'une beauté, mais à couper le souffle, où tout se rencontrait, rythme, mélodie, voix. Et, bien que l'Inde soit un monde si complexe pour un ptit gars comme moi, et que toute une vie d'étude m'en ferait piger 10% maxi, je parvenais à me sentir "chez moi" à un niveau plus profond, et, comme c'est déjà arrivé plusieurs fois dans le temps, le sanskrit m'a "propulsé" pour écrire.
Ouin, aujourd'hui, il faut que je rédige un argumentaire-représentants de deux lignes maxi, pour mon prochain roman à sortir, en gros, ce qu'ils diront aux libraires pour qu'ils prennent mon livre (sachant qu'ils auront déjà reçu avant les grosses mafias des groupes principaux d'édition). Et, auteur du texte et donc ayant trop le nez dedans, je me sens le plus mal placé pour cet exercice de marketing, qui devrait plutôt être confié à un pro du marketing.